Assalamou alaykounna
je vous invite à venir nombreuses soutenir ce projet magnifique et si bénéfique! qu'Allah facilite à nos soeurs fondatrices de cette association, amine
Assalamou alaykounna
Si l'une d'entre vous peut me transcrire les paroles en arabe ou français je suis preneuse ;-)
je les mettrai sur mon blog inchAllah
baarakaAllahu fikounna pour votre participation akhawates!
Assalamou alaykounna
Vous pouvez visionner ce petit rappel avec vos enfants, pour revoir pendant les vacances ce que nous avons étudié en classe inchAllah.
MashAllah cette petite fille n'a que 5 ans! Qu Allah lui accorde une belle récompense.
Assalamou alaykounna akhawates
Aid mubarak!
bon je ne vais pas vous répéter que je suis débordée et que je n'ai pas le temps de rediger un "vrai "article sur mon blog
mais franchement on a tellement besoin de rappels en ces temps difficiles
Shaykh ‘Abdullah Ibn Salih Al-Fawzan
Sufyan Ibn 'Abdillah (radiallahu ‘anhu) a dit : « ô messager d'Allah, dis-moi quelque chose sur l’islam, sur laquelle je n’interrogerai personne après toi. Il dit : « Dis : « Je crois en Allah » et ensuite reste ferme (sur cela). » [1]
Ce hadith est la preuve que le serviteur est obligé, après avoir cru en Allah, de persévérer et d’être ferme dans son obéissance à Lui, en accomplissant les actes obligatoires et en évitant les interdits. Ceci est réalisé en suivant le Chemin Droit, qui est la Religion ferme, sans s'en éloigner à droite ou à gauche.
Si un musulman a vécu pendant Ramadan et a passé ses jours dans le jeûne et ses nuits dans la prière et que pendant ce mois il s'est habitué à faire des actes de bien, il doit rester sur cette obéissance à Allah à tout moment (après cela). Ceci est le vrai état du serviteur ('abd), en effet, le Seigneur des mois est Unique et Il est Vigilant et Témoin de Ses serviteurs à tout moment.
En effet, le fait d'être ferme après Ramadan et de rectifier ses paroles et actes est parmi les plus grands signes que la personne a tiré avantage du mois de Ramadan et qu'elle a lutté dans l'obéissance. Ce sont les signes de l'acceptation et du succès.
En outre, les actes d'un serviteur ne s’arrêtent pas avec la fin d'un mois et le commencement d'un autre. Plutôt ils continuent et s'étendent jusqu’à ce que vienne la mort, car Allah dit :
« et adore ton Seigneur jusqu’à ce que te vienne la certitude (la mort). » [sourate Al-Hijr : 99]
Si le jeûne de Ramadan prend fin, le jeûne volontaire est toujours prescrit pendant l'année entière et la louange est à Allah. Etre debout dans la prière la nuit pendant Ramadan prend fin, mais l'année entière est un temps pour accomplir la prière de nuit. Et si Zakatul-Fitr prend fin, il y a toujours la Zakat obligatoire, de même que l’aumône volontaire qui dure l'année entière. De même pour la récitation du Qur'an et la réflexion sur sa signification et que tous les autres actes pieux qui sont aimés, ils peuvent être faits à tout moment. Parmi les nombreuses générosités qu'Allah a accordé à Ses serviteurs est qu'Il a placé pour eux de nombreux types différents d’actes d'adoration et Il a fourni beaucoup de moyens pour faire de bonnes actions. Donc, l'enthousiasme et l'ardeur du musulman doivent être constants et il doit rester au service de son Maître.
Il est malheureux de trouver certaines personnes accomplissant différents types d'actes pieux pendant Ramadan – préserver strictement leurs cinq prières quotidiennes dans le masjid, réciter abondamment le Qur'an et donner l’aumône. Mais quand Ramadan prend fin, ils deviennent paresseux dans leur adoration. Parfois, ils abandonnent même les obligations, et généralement la prière en congrégation et spécifiquement, la prière du Fajr!
Et ils commettent même des actes interdits comme de dormir aux temps des prières, se rendre aux lieux de sottise et de divertissement et se mélangeant dans les parcs, particulièrement le jour du 'Id! L'aide contre ces maux vient seulement par la Grâce d'Allah. Ainsi, ils démolissent ce qu'ils ont construit et ils détruisent ce qu'ils ont établi. C'est une indication de privation et un signe de perdition. Nous demandons à Allah Sa protection !
En effet, ces gens prennent le repentir et l’arrêt des mauvaises actions comme quelque chose de spécifique et limité (seulement) au mois de Ramadan. Donc ils arrêtent de faire ces (bons) actes quand le mois s'arrête. Ainsi, c’est comme s'ils avaient abandonné des péchés pour Ramadan et pas par crainte d'Allah! Combien est grand le mal de ces gens qui ne connaissent Allah que pendant Ramadan!
Vraiment, le succès qu'Allah accorde à Son serviteur réside dans le jeûne de Ramadan. Et Allah l’aide à faire ce qui est une grande bénédiction. Ainsi, cela appelle le serviteur à être reconnaissant envers son Seigneur. Et cette compréhension peut être trouvée dans la Parole d'Allah, après avoir achevé la faveur du mois de jeûne :
« Il ne veut pas la difficulté pour vous, afin que vous en complétiez le nombre et que vous proclamiez la grandeur d’Allah pour vous avoir guidés, et afin que vous soyez reconnaissants » [sourate Al-Baqara : 185]
Donc celui qui est reconnaissant en l'ayant jeûné, restera sur cette condition et continuera à accomplir des actes pieux.
En effet, la vrai musulman est celui qui loue et remercie son Seigneur pour lui avoir accordé la capacité de jeûner et d’accomplir le qiyam (la prière de nuit). Sa condition après Ramadan est meilleure que celle avant Ramadan. Il est plus prêt à obéir, désirant faire de bonnes actions et s’empresse d’accomplir les actes obligatoires. Car il a tiré avantage de cette grande école (Ramadan). Celui qui craint que son jeûne ne soit pas accepté, en effet Allah accepte seulement de ceux qui ont la taqwa (crainte emprunte de piété et plus encore, obéissance à Allah et éloignement de Ses interdits).
Les pieux prédécesseurs luttaient pour compléter et perfectionner leurs actes, espérant ensuite, qu'ils seraient acceptés et craignant qu'ils soient rejetés. Des narrations de 'Ali (radiallahu ‘anhu) rapportent qu'il a dit : « Soyez plus concerné par l’acceptation de vos actes que par l'acte lui-même. N’avez-vous pas entendu Allah dire :
« Allah n’accepte que de ceux qui ont taqwa » [sourate Al-Ma'ida : 27] [2]
'Aisha a dit : « J'ai interrogé le messager d'Allah (salallahu ‘alayhi wa salam) concernant le verset:
« Et ceux qui donnent ce qu'ils donnent (c'est-à-dire, l’aumône et d'autres bonnes actions), tandis que leurs cœurs tremblent par crainte. »
Sont-ils ceux qui boivent de l'alcool et volent ? » Il (salallahu ‘alayhi wa salam) a dit : « Non, ô fille de As-Siddiq. Mais plutôt ils sont ceux qui jeûnent et prient et donnent l’aumône, craignent qu'ils ne soient pas acceptés d'eux. Ils sont ceux qui se précipitent pour faire de bonnes actions et ils sont les premiers pour les faire. »
Donc prenez garde, prenez garde- de retourner en arrière après avoir atteint la guidée, de s’égarer après la persévérance! Et demandez à Allah de vous donner l'endurance dans l’accomplissement des actes pieux et la constance dans l’accomplissement des bonnes actions. Et demandez à Allah qu'Il vous accorde une bonne fin, afin qu'Il accepte notre Ramadan.
Notes de bas de page :
[1] Sahih Muslim (n°38)
[2] Lata'if-ul-Ma'arif (pg. 246)
Article tiré du site al-manhaj.com
Source : Ahadith As-Siyam : Ahkam wa Adab (pg. 155-157)
Traduit par les salafis de l’Est
PENSEZ A JEUNER LES 6 JOURS DE CHAWWAL AKHAWATES!
ASSALAMOU ALAYKOUNNA
qu'un seul mot à dire (très speeed lol):
"A vos Corans akhawates!!!"
Assalamou alaykounna akhawates
Question :
Quel est le jugement sur le fait de jeûner pendant le mois de Sha'bân ?
Réponse :
Jeûner pendant le mois de Sha'bân est une Sunna, de même qu'il est Sunna d'en jeûner la plus grande partie, au point que 'Aishah a dit :
« Je ne l'ai pas vu jeûner plus que pendant le mois
de Sha'bân. »
(Al-Bukhârî)
En raison de ce hadith, il convient de beaucoup jeûner pendant le mois de Sha'bân.
Les savants ont dit : le jeûne du mois de Sha'bân est semblable aux prières surérogatoires accompagnant les prières obligatoires.
Il est semblable à une introduction au mois de Ramadhân et un acte surérogatoire accompagnant le mois de Ramadhân.
C'est pour cette raison que le jeûne est prescrit pendant le mois de Sha'bân.
De la même manière, le jeûne de six jours pendant le mois de Shawwâl a été prescrit, comme un acte surérogatoire avant et après l'acte obligatoire.
Le jeûne pendant le mois de Sha'bân contient un autre profit qui est d'établir et de préparer l'âme au jeûne, afin qu'elle soit prête à jeûner le mois de Ramadhân, et que son
accomplissement lui soit aisé.
Source : Fatâwâ Arkân Al-Islâm, n°443.
Traduit par les Salafis de l'Est
copié
de salafs.com
Assalamaou alaykounna
ma petite video coup de coeur (dedicasse a brigitte bardot lol)
subhanna Allah vous n'imaginiez pas qu'on pouvais egorger une bête sans cris, nervosité, anxiété, avec une seule main pour maitriser une bête...Allahu akbar
Afouane c'est en anglais, mais ça vaut le coup de regarder aussi, meme quand on comprend rien mdrrr
après ça qui pourra dire que les musulmans sont des barbares!
La véritable foi
La foi a une face apparente et une face intérieure. Sa face apparente repose dans les paroles de la langue et les actes du
corps, sa face intérieure dans l’approbation du cœur, sa soumission et son amour.
Ainsi, une foi apparente dénuée de face intérieure n’est d’aucune utilité, même si elle préserve en ce monde le sang, les biens
et la famille.
De même, une foi intérieure qui n’a aucune manifestation apparente n’est pas suffisante, sauf si l’on est excusé par
l’incapacité, la contrainte ou la peur de mourir. L’absence d’œuvre apparente, sans empêchement, est une preuve de la perversion de la face intérieure et son dénuement de foi, de la même manière
qu’un manquement indique sa faiblesse, ou que sa force indique une force de la face intérieure.
La foi est le cœur est l’essence de l’islam, et la certitude est le cœur et l’essence de la foi. Toute science ou œuvre que la
foi ne renforce pas est défectueuse, et toute foi qui n’incite pas à l’acte est défectueuse.
Le fondement de tout bien est de savoir que ce qu’Allah veut doit arriver, et que ce qu’Il ne veut pas ne peut se produire. Tu
seras alors convaincu que les bonnes actions que tu accomplis sont un de Ses bienfaits pour lequel tu dois Le remercier et Le supplier de ne pas t’en priver. Tu seras aussi certain que les péchés
que tu commets sont une punition d’Allah qui se détourne de toi. Tu l’imploreras alors pour qu’Il S’interpose entre toi et les péchés, et pour qu’Il ne t’abandonne pas à ton sort concernant
l’accomplissement des bonnes œuvres et le délaissement des péchés.
Les sages sont unanimes pour affirmer que si le serviteur accomplit une bonne action, c’est avant tout grâce à l’assistance
qu’Allah lui a portée. Et que si un péché est commis, c’est qu’Allah a abandonné Son serviteur.
Ils sont aussi unanimes pour dire que l’assistance d’Allah consiste à ce qu’Il ne t’abandonne pas à ton sort. Et que Son abandon
consiste à ce qu’Il te laisse livré à toi même.
Si tout bien est donc issu de l’assistance d’Allah, assistance qu’Il est le Seul à posséder, et dont le serviteur ne détient
aucune part, la clé permettant d’obtenir cette aide consiste alors à invoquer Allah, reconnaître son indigence , chercher sincèrement refuge auprès de Lui en espérant Sa récompense et en
craignant Son châtiment . Si Allah donne cette clé au serviteur, c’est qu’Il veut lui ouvrir Sa porte. Mais s’il l’empêche de l’atteindre, Sa porte restera alors fermée.
Le commandeur des croyants Umar ibn al Khattab -qu’Allah l’agrée- a dit : « Je ne me
soucie pas de savoir si Allah exaucera mes invocations ou non. Mon souci principal est : Allah va t’il m’inspirer la volonté de L’invoquer ? Car du moment où Il m’inspire l’invocation, je sais
pertinemment qu’Il m’exaucera. »
L’assistance et le secour d’Allah ta’ala sont proportionnels à l’intention du serviteur, son ambition, sa volonté et
son désir. L’assistance qu’Allah fait descendre pour Ses serviteurs est donc proportionnelle à leur ambition, la constance de leurs invocations, l’espoir qu’ils nourrissent d’être exaucés et la
crainte qu’ils éprouvent de voir leur demande rejetée. De même, Allah les abandonnera en fonction de tous ces éléments.
Allah ta’ala est donc le plus juste des juges et le plus omniscient des savants. Il offre Son aide quand il le faut et
abandonne ceux qui ne méritent pas Son secours. Il est l’Omniscient, le Très Sage.
C’est parce que certains ont délaissé le remerciement d’Allah, et ont négligé de manifester leur indigence et de L’invoquer
qu’ils ont sombré dans les péchés. Et c’est parce que d’autres ont été reconnaissants envers Allah ta’ala de par Sa volonté et Son assistance, leur a permis d’accomplir les bonnes
œuvres.
Enfin, le fondement sur lequel reposent toutes ces vérités est la patience, qui est à la foi ce que la tête est au corps : Si la
tête est coupée, le corps ne peut survivre.
Source : Kitab al Fawa'id de l'imam Ibn Al Qayyim